C’est mon premier roman jeunesse 8-12 ans. C’est mon premier conte, aussi.
Un conte de Noël, écrit pour ma fille, mais aussi pour moi. Parce que je manquais de lumière à ce moment-là. J’avais besoin de m’accrocher à quelque chose de lumineux.
J’ai écrit cette histoire en moins de deux semaines, parce que l’idée est née début décembre, et que je voulais qu’elle soit prête pour la veillée de Noël.
Et j’ai réussi. Le 24 décembre 2020, j’ai lu « La lumière de Noël » à mon homme et ma fille avant qu’elle aille se coucher. C’était un moment unique, hors du temps, magique.
Depuis, j’ai retravaillé l’histoire de manière à la découper en 25 chapitres. Un pour chaque jour de l’Avent, et le feu d’artifice final pour le matin de Noël.

L’idée à l’origine du conte La lumière de Noël
2020, l’année du covid, des confinements, du couvre-feu, du port du masque obligatoire, du stress ambiant… Je ne vous fais pas un dessin, vous étiez là ^^
Tout était trop sombre autour. Et l’obscurité, collante, avait commencé à sérieusement s’infiltrer à l’intérieur. Il me fallait de la lumière. De l’espoir. De la vie. Encore plus dans cette période de fêtes où tout était lourd.
Et cette question tournait en boucle dans ma tête : jusqu’à quel point, pour plus de sécurité et de protection, sommes-nous prêts à renoncer à la vie ?
C’est là que l’île-cité de Tol est née. Un lieu imaginaire, perdu au milieu de l’océan arctique, où à cause d’accidents mortels trois ans plus tôt, pour des raisons de sécurité, il est désormais interdit d’allumer un feu, une bougie, une lampe ou tout autre appareil électrique entre dix-neuf heures et six heures du matin.
Et sur cette île vit Loane, qui reçoit un cadeau interdit. Et en plus, magique. Elle qui est si révoltée à l’intérieur, découvre la douceur. Et l’entraide. Et l’importance de choisir les combats qui en valent la peine.
C’est un conte pour enfants, mais j’espère bien que votre âme d’enfant saura l’apprécier également 😉

