J’aime Noël. J’aime les comédies de Noël. J’aime les romances de Noël. J’aime les films de Noël. J’aime les feel good de Noël. (Bon, je crois que le message est passé ;-P)
Après un conte de Noël, j’avais envie d’une histoire pour adultes à Noël. Et cette fois, je suis partie sur un feel-good de Noël avec une romance en toile de fond. Et après avoir testé le journal intime (avec Toutes ces premières fois), et les lettres d’enfant (avec Les lettres d’Élise), j’ai eu envie de m’essayer à un roman épistolaire à 80 %.

L’idée à l’origine du roman Le Père-Noël rafistoleur
Dans « Toutes ces premières fois », l’histoire s’achève au début de l’automne. Sans spoiler, Maeva a rencontré quelqu’un. Quelqu’un qui s’apprête à partir en voyage. Je n’ai pas réussi à les séparer. Pas si tôt.
Celui qui devait partir a eu un accident de vélo (tout est inspiré d’un accident arrivé à quelqu’un de ma famille) et est immobilisé au moins jusqu’à Noël. Mais il refuse de voir Maeva. Il ne veut pas de sa pitié. Et surtout, il n’a pas l’intention d’annuler son voyage. Et s’il acceptait de la voir, il aurait trop peur de changer d’avis. Alors ils correspondent. Par un carnet qu’ils s’échangent.
Et une deuxième idée est venue se greffer rapidement à ce début de correspondance. Alors que notre jeune homme ne peut voyager, un Père-Noël secret apparaît et lui fait vivre un calendrier de l’Avent unique avec chaque jour, une tradition autour de Noël ou des fêtes de fin d’année.
Comme je l’ai déjà mentionné, mes histoires sont toujours moins légères qu’elles n’y paraissent. Mais j’y mets beaucoup de douceur, d’éclats de joie, de paillettes d’espoir, et ici, de lumière. Plein. Partout. Après tout, c’est Noël 😉
Cette histoire se lit indépendamment de « Toutes ces premières fois », même si c’est mieux de la lire après.

