Alors que j’entame ma première semaine de Challenge Écriture sur le mois d’octobre (je vous en reparle dans des articles dédiés, c’est promis), pour la première fois de ma vie, je m’essaie au plan.
Jusqu’ici, la seule chose que je faisais (et encore, pas pour tous mes romans), c’était de noter quelques idées principales, comme des vertèbres dissociées les unes des autres pour ensuite former un squelette au fur et à mesure de l’écriture. C’était le cas par exemple pour « Vieille amitié ne craint pas la rouille » où j’avais défini à l’avance les défis que mon héroïne souhaitait réaliser avant de passer son bac. Mais je n’avais aucune idée de l’ordre dans lequel j’allais les faire apparaître dans mon histoire, ni comment faire pour que ces souvenirs s’intègrent de façon logique au présent. Autre exemple : avec « Les Déboussolés Anonymes« , j’avais noté mes idées de réunions (un peu comme les alcooliques anonymes, les déboussolés anonymes se regroupent une fois par semaine pour aborder une thématique). Mais c’était tout.
Pour mon Challenge Écriture d’octobre, l’idée est d’écrire mon nouveau roman jeunesse (Young Adult), et cette fois-ci, avec un plan. C’est donc un double défi : écrire un roman en moins d’un mois, mais avant, faire un plan assez détaillé pour savoir tout (ou presque) ce qui va se passer à l’avance.
Je vous propose de découvrir en vidéo pourquoi pour cette histoire il était plus que nécessaire de travailler sur un plan en amont, et mon ressenti sur ce travail de fond. Vous découvrirez comment j’ai l’impression d’être passée d’une lampe à pétrole à un chemin de petites bougies 😉